samedi 8 novembre 2008

highs and lows and alternations
personalities 
treated.

you, ect.

you rested your silence on me,
i enjoy the idea of you 
falling asleep on me

today i can fully dissociate myself from my body
my thoughts are elsewhere 
i remember images of you rather than your face
frightened
terrified
that you should come to think of me as 
my mothers daughter 
my fathers image, 
sweating of narcissism, streams from my open pores 
to be of no use 

i fear i make no sense, 
the essence of my 
building up to a great feeling of anxiety 
ect.
i am not sure what to do with you and all of this. 

mercredi 5 novembre 2008

I got to half of my journal. 
The best half is over, i want a new one. 

He has his operation tomorrow for his tumor in his finger. 
I'm not quite sure which finger.
He's never going to have a nail on that finger again. 

I'd like to video tape you when you part your lips,
your eyes wide open. 
You inspire the best in me. 

I want a man to do that to me someday. 
But I'm going to rest my mind on you for now. 

-in a platonic way.

mardi 4 novembre 2008

An attempt to brake, open, explore, try.

And he brought me under steps and stone, and open the dark alley door, 
My body was shaking and shattering and shivering. 
While my eyes stayed wide open, my mouth remained shut,
alternating roles. 

i threw my damp clothes on the floor, 
leaving my skin underneath the bed sheets.

my mind flickered. 

He guided me step by step through every part of me
as i tried to race through my thoughts, 
tried to predict 
tried to control the words that were slipping out 
beyond me.

un laisser faire, 
une main entre deux,
mes yeux se ferme, 
ses bras me couvre, 

I woke up and ran out of his place. 

mercredi 2 juillet 2008

BPD.

i am caving into embarrassment  
and i miss myself -the way you had made me 
reality has been dissociated 
perspective is a strange thought 
and on this note


come back to me. 

jeudi 26 juin 2008

II

2/2 : to j. 
june08 

II

sur ce laisse.

laisse la fonction remplacer la vraie presence

je ne te donnerai plus .

jai mis trop de dose de moi pour demeurer desirable

tu m’avais dit etre inconditionnelle

mais il n’y a rien sans condition.
il n’y a rien sans risque de perte

il n’y a rien sans

il est evidement plus simple pour toi de te combler de son attention

de te combler de valorization positive

constence

constence

inconstance

haine, jalousie, douleur

inconstence

je ne voulais pas ceder

je l’avais presentie

il n’y a jamais eu de confience   -d ou la  prete de raison.-

J’ai trancher.

Sous la chair, il y a sang.

(under flesh: blood ) 

7-20-12-9-5

7-20-12-9-5. 
1/2: to j.
june08.

Et ce qui me rend insupportable est ce mon urgent besoin de presence

j’aimerai ecrire quelque chose qui ai du sens

qui fait du sens

qui contient un fond d’agressivitée actuelle. 


Un potentiel a etre mieu comprise, analisée, acceptée.

Je me sens coupable, d’etre soumise au pulsions imposée par la dynamique biologique de mon cerveau.

De mes cellules, entassées, empilées et emboitées l’unes dans l’autres.

Ces meme cellule qui ont dessidée que pour moi,

Je n,aime pas que tu me prennes de la sorte, et que je perde le controle la face, malgres que le perds constement.

Je n,ai jamais eu le control de ma face.

 Face a eu je suis et je demeure la meme et cela ne s’ai jamais ameliorée

Plutot deteriorée a ce que jetais mais d’une maniere justifiable,

Jen perds la raison

La raison

Tu a raison, je mescuse, je mescuse mille foi mais je n,ai plus de

je ne croi plus a l,espoire

ni en un besoin de sens, je

veux que tu me prennes la main,

caresse ma joue.

Caresse mes cheveux.

 

Apprends moi que c’est acceptable de acceder a la perte de control de son corps, apprends moi un quelconque plaisir physique.

J’aime trop quand ca fait mal.

 Dit moi que tu ne regretted pas le soir ou l’on a perdu la raison, 

dit moi que tu ne regretted pas de m,avoir jamais rencontrer ne laisse pas l’espace entre nous t’envelopper reviens moi je me noie

 

je fais deuil de

 

je ne suis plus que     moi sans toi. Moi sans moi .

moi sans.

Mon sang.

Mes os

Mes cellules.

 IL FAUT TRANCHER.

(il faut faire tranche de) 

 

samedi 10 mai 2008

EGO

Jai peur deter seule jai peur de perdre la tete /Je suis en trein de te perdre

Et tu as Presque plus de valeur que ma tete/ Mais erreur après erreur je semble perdre prise

Je hais mon besoin de l’autre

Je hai mon besoin de toi, je me repose en toi, je me suis toujours reposer dans ce confort , que lautre serai toujours la mais face a moi je perds le control

Sur ce je me questionne sur la normalité, la solitude et la perception.

Est ce que c sain? Est ce que je suis saine?

Est ce que par mes angoisse je me trouve plus saine ou plus folle

 SAIN ET SAUF

Certes je suis ego, Je suis egocentrique

Centrer sur lego qui me construit ou sur la construction de ce meme ego

Et la constatation de cette realité instable et monotone et vide me rend perplexe, ambigue, ambivalance. ambivalance face a la realitée qui balance du mouvement constant a la solitide froide et statique

du confort en les autre et celui en moi meme

honeur

Plus rien /Tout ce qui etait notre est maintenant hors de portée.

L’empire que l’on a construit, disparu tranquillement /Tant la buée l’emportait./

Je regrette mon insoucence, mon irresponsabilité, mon manqué de conscience/

Mon indifference./ Mais j’ai peine a croire que le pire pouvais etre deux fois plus pénible que je l’avais imaginer/ Et que pendant que je me trouvais a la derive,

Ta main ne m’as pas trouvée/ Ta main ne m’as pas cherchée/ Et tu as choisi de laisser les autre avalé ce qui nous restait

Tu as choisi de ne pas t’impliquer/Et ce manque de position/ M’as laisser sans vertebre.

Je voulais juste te dire que je déménage.

Que tu devras donc trouver une personne pour me remplacer./Que je t’aiderai pour les annonces,

Mais que je ne peux pas entierement choisir pour toi puisque cela t’implique plus que moi

Les petites choses ont que peut d’importance,/Mais j’aurais aimé que tu m’avise de ton depart au lieu de l’apprende ailleurs,/Je ne t’ais pas invite a mon expo parceque je ne voulais pas t’y voir,

Parceque tu semble etre que tres peu affecter par mon travail.

Je ne voulais pas te saluer parceque je n’y voyais pas l’utiliter ca fesais au dela d’un moi que j’attendais que tu me demande comment ca allais/ Un mois que j’attendais que tu t’inquiete.

Un mois que je pleurais et que tu n’as pas voulu essayer de savoir pourquoi.

En fait si je me rappelled bien ta seule reaction et de dire que tu le savais deja.

J’ai si peur de voir les mots sortir en raphalle de ta bouche/ J’ai si peur de voir nos reves amorti .

Mais je suppose que je  dois dorenavant me contruire sans appuis.

you are paying

As I approach the empty page, I shiver, I am not quite at ease with the thoughts

Of thoughts emerging, and having to canalize all of them

Just as I learnt to canalize anger and happieness and never succeded

In achieving / much of anything/ as I should have

stay

let me fight my way through your memories, i’ll scare you, easily

i’ll make you espect the worst of me and let you be surprised with the rest but in the meantime there will be no rest

there is never such a thing as to be restfull in my mind, in my dreams i am hollow and thus with the wind I am ment to vanish

holding myself back of the fece on the bridge, I have no control over my body/my mind is long gone, they try to rescue me, but I feel no pain

i don’t need to go to the hospital, therefore I escape.

Find my way through a kitchen and staring at knives. But there is no bad intentions behind the facination,

Since I am already absent and there is only my body that has remained

Read me /Waking up is not as reassuring,

My nightmares have something to be espected of my real self that wants to emerge,

she is wearing a yellow dress, she is prancing around

you’d love her.

Not because she is me, but because she is true

I am nothing to rely on, and I cannot stand to be lied to,

This is how I figured the reasons I dislike myself

i am shrinking

i'm shrinking


laissez moi retressir

je nai que du resentiment pour tous ceux que jemmerde

et pourtant je naime que ceux qui ne sont pas en mesure de me comprendre

 

J’aimerai pouvoir etre en mesure de soulever

Ce qui me sous pese

Sous baise

 

donnez moi une chance d’avoir au moin un apercu d’intimitée

je me perds

dans un assouvissement

tu ne quittais pas tu me laissais