Et parfois me viens l'envie de me retirer.
pour ne pas vous fatigué, je vous épuise.
je le sens lorsque vos paroles changes,
Et puisque vous importez tant pour moi,
je ne puis ignorer le regard que vous me portez,
l'attention que vous ne me portez plus,
le ton qui me perds,
je supose qu'il est temps de finir notre amitié,
avant que vous ne vous vous lassiez de ma présence,
de mes paroles,
mes pensées, ordinaires, banales,
Je ne resterai pas longtemps je supose,
Je ne parlerai plus,
Et les pensées qui me rattache à votre présence,
à l'envie de vous voir,
ne sont encore, trop vivantes pour être tuer.
Je ne saurai m'abandoner dans le vide de votre regard, pourtant
et à présent je supose que je me dois,
de me retirer,
de me resoudre à la quête d'une autre âme à séduire,
puisque ce sentiment m'est si cher,
puisque la pulsions d'être enviée m'est si douce,
Puisque je ne puis vous remplacer, mais je le souhaite.
Puisque je ne peux me résoudre à vous laisser.
Et je ferais encore une fois l'effort,
encore une fois le geste,
simplement pour vos paroles qui furent une consolations,
à un moment où je n'avais rien d'autre.
Je vous en conjure ne me laisser pas croire
que notres rencontre fu simplement le fruit de l'azar
face à la necessité d'une presence,
face à la necessité d'un échapatoir.
Face au simple et vulgaire besoin de compagnie lors de moments de plaisirs, et de fêtes.
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